Nous voulons revenir à l’ancienne signification du Carnaval, quand les gens se moquaient des puissants et de leurs abus en utilisant des masques, des chants, des danses, de la musique, des chars et des signes satiriques. Tout cela peut très bien s’appliquer à la persécution actuelle de Julian Assange, par exemple en portant des masques reproduisant son visage.
Proposons de soutenir l’initiative « Night Carnival for Assange » lancée par la campagne « Don’t Extradite Assange » qui aura lieu à Londres le samedi 11 février, en organisant des actions similaires dans le monde entier ce même jour.